Le monde de l’équitation est vaste et empreint de passions, d’histoires et de traditions. Parmi les nombreuses étapes que peuvent choisir de suivre les cavaliers souhaitant professionnaliser leur passion, l’une d’elles résonne souvent comme un passage clé : la formation BPJEPS (Brevet Professionnel de la Jeunesse, de l’Éducation Populaire et du Sport). Spécialement conçue pour ceux désirant encadrer, enseigner et animer dans les domaines du sport, cette formation exige des compétences et un niveau équestre précis que tout postulant doit détenir. À travers cet article, nous allons dévoiler quel est exactement ce niveau équestre nécessaire pour intégrer la formation BPJEPS, et comment s’y préparer au mieux pour franchir cette porte ouvrant sur le monde professionnel de l’équitation.
Comprendre la formation BPJEPS
Avant de plonger au cœur du niveau équestre requis, il importe de comprendre la nature de la formation BPJEPS. Le BPJEPS est constitué de différents spécialités, dont celle « Activités Équestres » figure en bonne place. Cette formation se destine à former des moniteurs capables d’enseigner l’équitation, de mener des actions d’animation, de gestion et de développement au sein des structures équestres.
Les pré-requis de la formation BPJEPS en détail
La question du niveau équestre nécessaire pour intégrer le BPJEPS « Activités Équestres » est centrale. En règle générale, le candidat doit être capable de montrer une certaine aisance dans les trois disciplines olympiques : dressage, saut d’obstacles et cross. Selon les recommandations des organismes de formation, voici les pré-requis souvent évoqués :
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Une maîtrise des savoirs fondamentaux : Avant même de penser compétition, le cavalier doit avoir une bonne compréhension et assimilation des savoirs équestres fondamentaux. Cela comprend un bon niveau de dressage, une capacité à gérer un parcours d’obstacles jusqu’à une certaine hauteur et une familiarité avec le travail en extérieur.
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Des compétences techniques spécifiques : Le futur formé doit également détenir des compétences techniques précises. Cela peut inclure la capacité à effectuer un parcours d’obstacles à 1m-1m10 pour le saut d’obstacles, ou encore d’avoir une compétence affirmative dans les épreuves de dressage équivalentes aux tests FEI pour jeunes cavaliers.
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Une expérience concrète en compétition : Bien que cela ne soit pas un pré-requis officiel pour toutes les formations, avoir participé à des compétitions peut être un sérieux atout. Cela démontre non seulement une certaine expérience pratique mais aussi une connaissance plus approfondie du milieu équestre.
Se préparer pour atteindre le niveau requis
L’atteinte de ce niveau exige non seulement de l’expérience mais aussi un entraînement régulier et ciblé. Voici quelques conseils pour y parvenir :
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Travailler régulièrement avec un entraîneur qualifié : L’accompagnement par un professionnel de l’équitation est capital. Un entraîneur pourra non seulement aider à améliorer les techniques mais aussi à préparer spécifiquement les aptitudes requises pour la formation BPJEPS.
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Accentuer la polyvalence : Vu que la formation demande des compétences dans diverses disciplines, il est judicieux de diversifier son entraînement et de s’adonner à différentes pratiques équestres.
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Participer à des compétitions : Même si cela n’est pas exigé partout, entrer en compétition permet de gagner en expérience, de se mesurer et de comprendre les exigences du milieu équestre professionnel.
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Garder une condition physique optimale : La pratique équestre demande une bonne condition physique. Un entraînement hors selle, focalisé sur la force, l’endurance et la flexibilité, contribue grandement à améliorer les performances équestres.
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